Le capitalisme n'a plus d'avenir. Il ne peut que détruire les hommes et la planète.
Dans les luttes et dans les urnes, ensemble dépassons le, en visant une nouvelle civilisation.
Photo empruntée au blog Canaille rouge
Peuples de la planète : yes, you can!
Les événements se sont précipités en Tunisie. Le Premier ministre M. Ghannouchi a annoncé sur TV7, la chaîne officielle, que le président Zine El Abedine Ben Ali était "temporairement dans l'incapacité d'exercer ses fonctions".
Le président tunisien a fui à bord de son avion. Vers quelle destination ? A 20 h 15, aucune indication officielle n'était disponible. Certain parle de Paris ce qui serait un comble, d'autre de Malte. Une chose est sure, il devra répondre de ses crimes devant la justice de son pays.
On débat à Lyon le 19 janvier
de 18 h 30 à 22 h 00
Salle Victor Hugo
Rue Bossuet Lyon 6ème
Participez à ce nouveau moment de mise en commun
et d'élaboration du Programme que porteront
nos candidats pour la Présidentielle et les législatives de
2012.
Et puis quoi encore ?
Dans la Bible pendant qu'il y est !
« Nous devons inscrire dans la Constitution le principe de la maîtrise des finances publiques » a déclaré le Président de la République à l’Élysée lors de ses vœux aux parlementaires.
Cette mesure, qui s’inscrit dans la droite ligne des politiques d’austérité conduite par les dirigeants européens, vise à faire payer la crise à notre peuple : Nicolas Sarkozy cède une fois de plus à la dictature des marchés financiers !
Ce ne sont pas les dépenses publiques qui créent les déficits, ce sont les cadeaux fiscaux en tout genre offerts à une minorité de super-riches. 172 milliards d’euros en niches fiscales et sociales applicables aux entreprises : voilà ce à quoi il faut s’attaquer !
Ce n’est pas la France qui est en faillite, c’est la politique de Nicolas Sarkozy.
Parti communiste français
Paris, le 13 janvier 2011.
Cela fera 110 ans qu'Ambroise Croizat,
le créateur de la Sécurité Sociale, naissait
et 40 années de suite que la ville de Pierre Bénite
dans le Rhône est gérée par un maire communiste!
Nous aurons l'occasion de revenir sur ces deux évènements importants. Dans un premier temps nous publions un article de Michel Etievent (Historien) qu'il nous a fait parvenir.
Nous le remercions de sa riche contribution.
Bonjour les amis.
Nous entrons dans l’année Ambroise Croizat. 110 ème anniversaire de sa naissance, 60èmede sa mort, 65 éme de la création de la sécurité sociale et des retraites qu’il a fondées.
Son œuvre, ses luttes, son message sont d’une actualité et d’une modernité brûlantes. Pour l’événement et pour donner à cet inventeur social la place qui lui revient dans l’Histoire, cette année verra de nombreuses initiatives le commémorant.
Il pourrait être bien que chacun d’entre nous, au sein de groupes, syndicats, partis, organisations, associations, soit à l’initiative d’un rassemblement, d’une inauguration (même symbolique) de rues, de places, d’écoles, d’institutions, de salles…).
Ainsi, à l’heure où l’on tente de casser ses acquis rendrait-on hommage à la modernité de celui qui a donné au siècle et à l’avenir la couleur de la dignité. (Ci-joint, ci-dessous un texte sur sa vie, ses luttes, son œuvre)
Merci à tous.
Michel Etievent, historien, biographe d’Ambroise Croizat
2011. Année Ambroise Croizat…
Celui dont l’œuvre et le message résonne aujourd’hui d’une actualité brûlante naît un 28 janvier 1901 comme un fils d’usine. Entre l’éclat des fours de Savoie, son père, Antoine, est manœuvre. Douze heures par jour pour huit sous de l’heure. À peine le prix du pain. En cette aurore de siècle, dans la cité ouvrière de Notre-Dame-de-Briançon, on vit la misère qui court les pages de Germinal. Pas de Sécurité sociale, pas de congés, pas de retraite. Si la maladie ronge, il faut s’arrêter et le salaire n’est pas versé. On vit alors de la charité ou de la solidarité du quartier. Devant les coulées d’acier, sans aucune protection, l’accident de travail est quotidien. L’espoir, c’est le père d’Ambroise qui l’incarne. Fondateur du premier syndicat CGT des Alpes, il lance en 1906, la première grande grève. Dix jours de bras croisés pour la reconnaissance du syndicat et de la caisse de secours. Une grève pour le droit à la santé, tout simplement. Il l’obtient mais de vieilles revanches l’invitent à s’embaucher ailleurs.
1907. Ugine. Autre grève, autre départ obligé vers la région lyonnaise. C’est là qu’Ambroise prend le relais du père qui part vers la guerre. À treize ans, il est ajusteur dans une robinetterie de Lyon. Derrière l’établi, les mots du père fécondent: " Ne plie pas petit. Le siècle s’ouvre pour toi." Ambroise adhère à la CGT puis à la SFIO. À dix-sept ans, il anime les grèves de la métallurgie lyonnaise. Reste à faire le pas. Celui du congrès de Tours où il entre au PCF en 1920. " Proche du peuple d’où il venait, on le voyait partout, dit un témoin, devant les usines, au cœur d’une assemblée paysanne » Antimilitarisme, anticolonialisme, les deux mots tissent les chemins du militant entre une soupe populaire et une prison de passage.
1927. Il est secrétaire de la fédération des métaux CGTU. La route à nouveau, « militant ambulant ", un baluchon de « Vie Ouvrière » à vendre pour tout salaire. Commence un long périple où il anime les grèves de Marseille, du Nord, les comités de chômeurs de Lille ou de Bordeaux. Sur le terreau de la crise germe le fascisme. " S’unir, disait-il, pour donner à la France d’autres espoirs. Pas unis, pas d’acquis ! » Ces mots, il les laisse au cœur des luttes où " l’infatigable unitaire " ouvre l’ère du Front Populaire.
En 1936, Ambroise, secrétaire de la fédération des métaux CGT réunifiée, est élu député de Paris du PCF dans le 14ème arrondissement. A l’Assemblée, au cœur des entreprises, il impose la loi sur les conventions collectives: une rupture de dignité pour le salarié qui substitue au droit divin du patronat une codification écrite des conditions de travail établie avec l’assentiment des délégués du personnel. Présent à Matignon avec Benoît Frachon, il donne aux Accords du même nom, la couleur des congés payés et de la semaine des quarante heures. Mais la route s’ennuage. Croizat organise les solidarités pour l’Espagne, repart sur les routes pour préserver les acquis de l’été 1936. À Munich, le soleil de mai décline devant la capitulation face à l’Allemagne. 1939. Arrêté le 7 octobre, avec d’autres députés communistes, il est incarcéré à la prison de la Santé. Fers aux pieds, il traverse 14 prisons françaises avant de vivre les horreurs du bagne à Alger.
Libéré en février 1943, il est nommé par la CGT clandestine à la commission consultative du gouvernement provisoire d’Alger autour du Général De Gaulle. Il y exerce la présidence de la Commission du Travail. Là, mûrissent les rêves du Conseil national de la Résistance et les inventions sociales de la Libération. La sécurité sociale, bien sûr, dont le postulat colore le programme du CNR de mars 1944 : « Nous, combattants de l’ombre, exigeons la mise en place d’un plan complet de sécurité sociale vivant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence dans tous les cas où ils sont incapables de se le procurer par le travail avec gestion par les intéressés et l’Etat ». Les mots, lumineux, reprennent point par point l’article 21 de la déclaration des droits de l’homme de 1793 qui, pour la première fois au monde, ouvrait le droit au travail et à la santé pour tous. A la tête d’une commission de résistants, Ambroise dessine dès l’été 1943 les premières moutures de ce qui allait devenir la sécurité sociale. " Il faut en finir avec la souffrance et l’exclusion. Nous libérerons les Français des angoisses du lendemain ! ", disait-il à Alger le 14 janvier 1944.
C’est ce travail mûri par deux années de réflexion et l’aide des services de François Billoux, ministre de la santé, qui va aboutir à l’ordonnance d’octobre 1945, instituant la sécurité sociale. Le texte écrit, reste à bâtir l’idée. Le chantier commence en novembre 1945 quand Croizat est nommé au Ministère du Travail. 138 caisses de Sécurité sociale sont édifiées en 2 ans sous sa maîtrise d’œuvre par un peuple anonyme après le travail ou sur le temps des congés, "pour en terminer, selon les mots du ministre, avec l’indignité des vies dans l’angoisse de l’accident, de la maladie, ou des souffrances de l’enfance ». Pierre Laroque qui fut un des techniciens chargés de la mise en place du nouveau régime déclarait en 1947 : « En dix mois et malgré les oppositions, nous avons pu construire cette énorme structure alors que les Anglais n’ont pu mettre en application le plan Beveridge qui date de 1942 qu’en 1948. Il faut dire l’action irremplaçable d’Ambroise Croizat. C’est son entière confiance manifestée aux hommes de terrain qui est à l’origine d’un succès aussi rapide et remarquable » Rappelons combien le rapport de force de la Libération permit la naissance de celle que l’on va désormais appeler « la sécu » : un parti communiste à 29 % des voix, 5 millions d’adhérents à la CGT qui a joué un rôle fondateur, une classe ouvrière grandie par sa lutte héroïque dans la résistance.
Là ne s’arrête pas l’héritage de celui que l’on appelle le « Ministre des travailleurs ». Il laisse au siècle ses plus belles conquêtes : la généralisation des retraites, un système de prestations familiales unique au monde, les comités d’entreprises, la formation professionnelle, la médecine du travail, le statut des mineurs, celui des électriciens et gaziers (cosigné avec Marcel Paul), les classifications de salaires, la prévention dans l’entreprise et la reconnaissance des maladies professionnelles, la caisse d’intempérie du bâtiment, etc.
En octobre 1950, alors que la maladie ronge, ses derniers mots à l’Assemblée Nationale sont pour la Sécurité sociale : « Jamais nous ne tolérerons que soit rogné un seul des avantages de la Sécurité sociale. Nous défendrons à en mourir et avec la dernière énergie cette loi humaine et de progrès ». Un appel brûlant pour que la Sécurité sociale ne soit pas une coquille vide livrée au privé, mais reste ce qu’il a toujours voulu qu’elle soit : un vrai lieu de solidarité, un rempart contre le rejet, la souffrance et l’exclusion.
Ambroise Croizat meurt à Paris le 10 février 1951. Ils étaient un million pour l’accompagner au Père-Lachaise. Le peuple de France, "celui qui l’avait aimé et à qui il avait donné le goût de la dignité ", écrivait Jean-Pierre Chabrol dans l’Humanité du 18 février 1951.
Michel ETIEVENT*
*Auteur des livres « Ambroise Croizat ou l’invention sociale » et « Marcel Paul, Ambroise Croizat, chemins croisés d’innovation sociale». Commandes à l’ordre de Michel Etiévent, 520 avenue des thermes 73600 Salins les thermes. Prix de chaque ouvrage: 25 euros + 5 euros de port. (Pour les deux : seulement 7 euros de port).
Une centaine de participants, 10 nouveaux appels signés, des interventions politiques fortes marquées par une écoute rare, une ambiance fraternelle et festive super-sympa, et l'engagement de se donner à fond dans le mois qui reste d'ici le 1er tour des cantonales ont contribué au succés du repas Républicain.
Tels sont en résumé les éléments clé de ce moment charnière de la campagne qui donnent confiance à nos deux candidats, devraient conduire au succès.
Le reste en photos avec :
L'apéritif
Les interventions
Jean Chambon
Danielle Lebail
Discours de Danielle Lebail
Cher-e-s ami-e-s,
Cher-e-s Camarades,
Je suis heureuse de me trouver avec vous tous, Jean Chambon, Guy Fischer et aux côtés de Serge et Marie-Thérèse et engagée que nous sommes tous dans cette nouvelle campagne électorale qui va nous mener aux urnes les 20 et 27 mars.
Dans tous le département, la bataille est lancée et l’objectif est clair : nous voulons battre la droite, filer la raclée que méritent à Mercier, Ministre de la Justice et ses acolytes, bras armés de la politique antisociale de ce gouvernement, faire basculer le département à gauche avec le plus grand nombre d’élus communistes du Front de gauche.
Je suis donc là pour soutenir Serge et Marie-Thérèse, sa suppléante, car ce sont – si vous en doutiez encore – les élus qu’il vous faut, les élus dont les habitants de ce canton ont besoin, élus au service de la population, quotidiennement, et donc conscients des dégâts terribles que provoque pour les hommes et les femmes et la planète la politique de Sarkozy et Mercier.
Le télé président est venu confirmer ses choix néolibéraux et liberticides, le choix de supprimer l’impôt de solidarité sur la fortune, en maintenant le bouclier fiscal, le choix des assurances privées contre le service public de la dépendance, services publics chaque jour démantelés, le choix des banques et de leurs agences de notation contre les besoins du peuple, ici et dans le monde, le choix des scandales.
Elu conscient de l’aspiration des hommes et des femmes à une autre vie, à en finir avec ce système des copains-coquins, de corruption, de domination, d’exploitation.
C’est donc un élu qui saura résister au quotidien à cette politique, comme il l’a déjà fait, un élu qui protégera les institutions, le mouvement social de la rue.
®
L’exigence du retrait de la proposition de loi relative à la réforme territoriale,
® Comme il l’a fait dans sa ville, avec l’arrêté anti expulsions,
® Il l’a fait dans la urnes pour la réforme des retraites à taux plein.
® Il a combattu la casse industrielle en étant aux côtés des salariés d’Arkema.
® Il saura défendre les services publics et empêcher les fermetures des services publics (La Poste). C’est un élu qui prolongera les mouvements sociaux.
Résister à la droite, nous l’affichons tous très haut et très forts.
Mais cela ne suffit pas. Serge est candidat communiste du Front de gauche. Il agira et portera les convictions et les exigences de changement les plus fortes au cœur de la gauche.
Dans les propositions, il veut faire de ce département un département de bouclier social, solidaire et écologique face au bouclier fiscal.
C’est un élu qui relèvera les défis de :
C’est un élu qui rassemble tous les jours dans sa commune et dans ses engagements militants, comme le témoigne son comité de soutien.
Il est candidat pour le Front de gauche, d’un Front de gauche que nous souhaitons élargi aux hommes et femmes engagés dans la lutte (présidents d’associations, représentants de syndicats).
Mais – nous le savons – un très bon candidat, tout beau qu’il soit – le rejet de la politique menée, une aspiration à un changement, n’amène pas automatiquement au vote Front de gauche. Ils peuvent même mener à des chemins de traverse.
Je pense au vote Front National, Le Pen, ne les laissons pas en paix. Ce sont des hommes et des femmes de droite qui portent des idées qui divisent et qui ne répondent jamais aux exigences populaires.
L’abstention est aussi notre second défi.
Jusqu’au dernier jour, il va falloir mener la bataille idéologique aux côtés des candidats. Le nombre que vous êtes – ce jour – est encourageant, mais Serge compte sur chacun d’entre vous pour poursuivre cette belle campagne que vous menez, pour qu’au soir du 20 mars, faire de Serge le candidat de la gauche qui va battre la droite.
Sachez que pour les 52 autres candidats communistes, c’est notre moteur, une aide, pour que souffle ici aussi, un très grand vent de liberté, de justice, de démocratie, de dignité, de paix.
Bon courage à toutes et à tous et à vous deux Serge et Marie-Thérèse !
Serge Tarassioux
L'écoute
Le repas...
La fraternité
La bise du candidat ... et le bouquet
pour les 62 ans de Miren 1ère adjointe
à Pierre Bénite
Les débats et portraits
Le côté festif animé par JP
Et pour finir la devise de
notre section pour rassembler
Merci à toutes et tous
de votre participation,
de votre engagement
et de votre bonne humeur
qui aident à militer
avec confiance.
A plus!
Nous vous appelons à soutenir les candidatures de Serge Tarassioux, maire communiste de Pierre Bénite et sa suppléante Marie Thérèse Coullet, hospitalière à Lyon Sud, présentées par le Front de Gauche.
Sanctionner la casse des retraites et exiger une autre réforme
Les élections cantonales vont se dérouler dans un contexte de crise aggravée sous l’effet des politiques de super-austérité imposées par le FMI et l’Europe.
Elles nous permettent, sans attendre 2012, de sanctionner la politique impitoyable, inhumaine et méprisante de la droite qui veut imposer de force une réforme des retraites injuste, inefficace, illégitime, rejetée par la majorité de notre peuple.
Notre bulletin de vote sera aussi une manifestation pour une autre réforme qui pérennise le système par répartition avec la retraite à 60 ans à taux plein sans annuité supplémentaire.
Sanctionner la politique ultralibéraledes Sarkozy, Mercier et da Passano
Elles nous permettent de sanctionner la majorité droite-centriste du Conseil Général du Rhône présidé par Michel Mercier, ministre de droite de Sarkozy. Sous sa présidence, le Conseil Général relaie, voire anticipe la politique ultralibérale du gouvernement. Il répond ainsi aux exigences des marchés et du patronat intéressés par la manne financière de 79 milliards des Conseils Généraux.
Mr Mercier appuyé par da Passano prône une réforme des collectivités qui étouffe l’intervention des citoyens sur les choix à faire dans la proximité en faveur des plus fragiles et des plus humbles. Cela porte un grave coup à la démocratie locale et citoyenne et met le département sous la férule de l’Etat afin de transférer au privé une part toujours plus grande des richesses produites et de nos impôts.
Changer radicalement la politique du Conseil Général, l’ancrer vraiment à gauche
Alors que les populations attendent beaucoup de l’échelon départemental, cette politique réactionnaire nourrit la crise sociale, économique et écologique. Les besoins sociaux sont sacrifiés, les services publics affaiblis au profit du privé, les emplois industriels laminés et la sécurité délaissée. Les villes et quartiers populaires sont totalement ignorés.
Les populations du Rhône peuvent s’appuyer sur les élus (es) communistes et du Front de Gauche pour résister, tant il est regrettable que les élus (es) socialistes au Conseil Général du Rhône soient insignifiants et composent souvent avec la majorité départementale actuelle.
Le Conseil Général doit contribuer à une plus juste répartition des richesses, au développement économique et social avec l’homme et l’intervention citoyenne au cœur de toute construction. Les départements pour leur seule action sociale disposent de 28.7 milliards. (Aides sociales, RSA, petite enfance, handicapés et personnes âgées…etc.)
Le département peut donc faire beaucoup. Cela suppose des élus (es) de terrain qui, dans la ville du canton, pratiquent la démocratie citoyenne, sont à l’écoute des populations et tissent avec elles, des liens de solidarité et de respect.
Pour cela, nous vous appelons à élire des élus de gauche offensifs qui résistent à la révision générale des politiques publiques (RGPP), refusent l’étranglement financier des départements avec la suppression de la taxe professionnelle et le recul des dotations de l’Etat.
Serge Tarassioux et Marie Thérèse Coullet sont de ce combat. ils portent l’exigence du respect par l’Etat des compétences obligatoires et générales des départements, véritables leviers pour promouvoir des politiques publiques répondant aux besoins et attentes des populations du département et de notre canton.
Avec Serge Tarassioux et Marie Thérèse Coullet : une gauche de combat, majoritaire dans notre canton
Les cantonales sont l’occasion d’investir le débat politique pour faire valoir une politique alternative transformatrice dont les priorités sont le développement industriel et des services publics, la démocratie locale, la protection de notre environnement et une réforme pour une fiscalité locale plus juste.
Pour cela, les populations de notre canton ont besoin d’une gauche de combat, courageuse, qui affronte le patronat et les marchés financiers. Une gauche molle, « petits bras » et consensuelle leur est d’aucune utilité surtout quand elle soutient la réforme des collectivités territoriales ou la réalisation du TOP (Tronçon Ouest du Périphérique) comme G. Collomb le maire de Lyon, Président du Grand Lyon !
Des élus (es) communistes et du Front de Gauche en plus grand nombre au Conseil Général du Rhône, est une urgence. L’élection de Serge Tarassioux est possible ! Sur notre canton, aux régionales, la gauche a obtenu 54.1 %, la droite et le Modem 32.8 % et l’extrême droite 13%. L’espoir existe.
Le candidat légitime et responsable en capacité de rassembler
la gauche au 2ème tour
Amplifions ce vote à gauche en faisant dès le 1er tour, le choix de Serge Tarassioux véritable atout pour tous ceux qui veulent que « ça change pour de vrai ». Il est aussi le seul candidat en capacité de rassembler largement au 2ème tour pour gagner, faire gagner la gauche, le peuple, et battre da Passano et la droite.
Serge Tarassioux est compétent et expérimenté par ses mandats d’élu municipal. Maire de Pierre Bénite, la plus grande ville du canton, il est le candidat légitime, responsable et de proximité, à l’écoute de ses concitoyens. En l’élisant, il agira pour changer et faire de la politique autrement, dans le respect des engagements pris.
Nous vous appelons à soutenir sa candidature, à voter et à faire voter pour lui aux cantonales de 2011 afin de l’élire conseiller général du canton d’Irigny et du Rhône.
Les 369 premiers signataires :
Mireille ELMALAN, ancien Maire de Pierre-Bénite, Vice Présidente du Grand Lyon. Guy FISCHER, Vice Président du Sénat, Sénateur du Rhône. Bernard GENIN, Maire de Vaulx en Velin, conseiller communautaire. Danielle LEBAIL, secrétaire départementale du PCF et conseillère régionale. Christiane PUTHOD, conseillère régionale, Vice Présidente à l’emploi. Jean Pierre BRUNEL, ancien conseiller régional Rhône Alpes. Marie-Christine BURRICAND, Conseillère Générale du Rhône. Azelia COLOMBIER-MERHERBECHE, conseillière municipale à Givors et suppléante de Martial Passi aux élections cantonales. Nawel BAB-HAMED, élue municipale à Lyon. Christian FALCONNET, Conseiller Général du Rhône. Martial PASSI, conseiller général du Rhône et maire de Givors. Robert PERRET, élu municipal d'Oullins. Katia PHILIPPE, ancienne élue régionale RA. Raymond COMBAZ, dirigeant départemental du PCF.
Alfred ANASTASI, Irigny, retraité industrie chimique. Nadia ADDA, Pierre Bénite, institutrice. Yves-Noman AL-KURDI, Pierre Bénite, étudiant. Pierre AMIOT, Pierre Bénite. Georgette ANDUJAR, Pierre Bénite, agent terrirorial. Michel ANDUJAR, Pierre-Bénite, retraité JTECK, syndicaliste, ancien adjoint au maire. Jean Claude AUBERGER, Pierre Bénite, militant Ancien combattant. Magdeleine AUBINEAU, Irigny, retraitée industrie chimique, syndicaliste. Alexandre AULAS, Pierre Bénite. Mireille AULAS, Pierre Bénite, infirmière, adjointe au maire. Muriel AUSTERNAUD, Pierre Bénite, femme au foyer. Mr AYED, Pierre Bénite. S. AZZOUZ, Pierre Bénite. Jacques BACCHIARDI, Pierre Bénite, retraité. Musdtapha BACHIR-CHERIF, Pierre Bénite, syndicaliste à Arkema. Claude BADOIL, syndicaliste Arkéma. Attallah BADRA, Pierre Bénite. Marina BARATAUD, Pierre Bénite. Daniel BARBERO, Pierre-Bénite, retraité du BTP, syndicaliste. Claudie BARIS, Pierre Bénite, aide ménagère. Georges BERNARD, Pierre Bénite. Alexandre BARRONCAS, Pierre Bénite. Ludivine BATTAGLIA, en rechrehce d'emploi. RégIne BATTAGLIA, Pierre Bénite. Thierry BATTAGLIA, Pierre Bénite. Roger BATHEYRON, Pierre Bénite, mécanicien auto. Mohamed BELGUEMANI, Pierre Bénite, commerçant. Maria BERLIOZ, Pierre Bénite, ancienne adjointe. Michel BIDAUD, Pierre Bénite. Michèle BIDAUD, Pierre Bénite. Jean Paul BIZOT, restaurateur. Fathia BENBOUZID, Pierre Bénite, auxiliaire de vie. Tahar BENNADJI, Pierre Bénite, adulte handicapé. Khoma BENKIMICHE, Pierre Bénite. Ahmed BENNOUR, Pierre Bénite, étudiant. Ali BENNOUR, Pierre Bénite, chef d'équipe. Imen BENNOUR, Pierre Bénite, étudiante. André BOERY, Pierre Bénite, ouvrier métallurgiste. Anne Marie BOERY, Pierre Bénite. Boufatah BENHISSEN, Pierre Bénite. Fatima BOUKREDIMI, Pierre Bénite, aide à domicile. Mohane BOUKREDIMI, Pierre Bénite, ouvrier métallurgiste. Abdelkrim BOUTI, Pierre Bénite, étudiant. Nassera BOUTI, Pierre Bénite, en recherche d’emploi. Claude BERLIOZ, Pierre Bénite. Philippe BERTANNIER, directeur d’entreprise. Ned BOUADJAR, Pierre Bénite. Karim BOUAMAMA, Pierre Bénite. Dounia BOURTAL, Pierre Bénite, étudiante. Nadia BOURTAL, Pierre Bénite. Mr BOUATRA, Pierre Bénite. Maryse BOUCHU-VOUGAZ, Pierre Bénite. Khaled BOUMEDIEN, Pierre Bénite. Adel BOUSSETA, Pierre Bénite, étudiant en droit. Abdel BOUSTANI, Pierre Bénite, chauffeur Poids lourds. Assia BOUSTANI, Pierre Bénite, sans profession. Michel BRET, Irigny, poète. Christian BRUN, cheminot, syndicaliste. Guy BRUNETTI, militant du Parti de Gauche, adjoint au maire de Pierre Bénite. Odette BUGEAUD, Pierre Bénite, retraitée. Amaury BURIANNE, Pierre Bénite, étudiant. Michèle BURIANNE, agent hospitalier Lyon Sud, syndicaliste. Carmela CACCIATORE, Pierre Bénite. Jean CACCIATORE, Pierre Bénite. Geneviève CARECCHIO, Pierre-Bénite, demandeur d’emploi, élue municipale déléguée à la culture. Roger CARRION, Irigny, retraité Arkema. Kheira CERA-CHERAKA, Pierre Bénite, conseillère Emploi-Formation. Elisabeth CHAIX, Pierre-Bénite, bibliothécaire. Christian CHAIX, Pierre Bénite, enseignant. Hugo CHAIX, Pierre Bénite, étudiant. Albine CHAMBON, employée administrative. Jean CHAMBON, Pierre-Bénite, métallurgiste et syndicaliste. Jeannine CHAMBON, Pierre Bénite, employée de Sécu, ancienne élue municipale. Laurie CHAMBON, Pierre Bénite, étudiante. Sébastien CHAMBON, Pierre Bénite, jeune intérimaire. Yamilé CHAMBON, Pierre-Bénite, ancienne adjointe au maire. Navy CHAP, Pierre Bénite. Jean Michel CHARCONET, Pierre Bénite. Nicolas CHARUDET, étudiant et salarié. Annick CHAUSSE, Pierre Bénite, agent hospitalier. Evelyne CHAUSSINAND, Pierre Bénite, veilleuse de nuit. Brahim CHENANI, Pierre-Bénite, élu municipal, responsable associatif. Magda CHENANI, Irigny, secrétaire. Jacky CHEVALLIER, Pierre Bénite, cadre territorial. Sylvie CHEVALLIER, Pierre Bénite, militante associative. Massaouda CHOUCHI, Pierre Bénite. Ahmed CIASMI, Pierre Bénite. Vincent CIMMINO, Pierre Bénite, commerçant. Paulette CLAPE, Pierre Bénite, retraitée de la chimie. Mireille CLAPE, Pierre Bénite, retraitée. Serge CLAPE, Pierre-Bénite, métallurgiste, syndicaliste. Claude CLAUDY. Joseph CLEMENT, Pierre Bénite, retraité Arkema. Danielle COLLARD, retraitée. Mireille COLLARD. assistante maternelle. Pierre COLLARD. chargé de communication. Gilles COMPAGNON, Cadre à La poste. Catherinse COUSSOUT, Pierre Bénite. Ilda COSTA, Pierre Bénite, employée. Jean COSTA, Pierre Bénite, agent territorial. Alexandre COSTA, Pierre Bénite, lycéen. Alexandre COULLET, Pierre Bénite, en recherche d'emploi. Mathieu COULLET, Pierre Bénite, étudiant. Sarah DHAMANI, étudiante. Antoine DARY, Irigny, animateur sportif. Alexis DEBIERRE, Pierre Bénite, étudiant. Nathalie DEBIERRE, Pierre Bénite, militante parent d’élèves. Emanuelle DECAROLIS, Pierre Bénite, professeur de lycée. Maryse DECAROLIS, Pierre Bénite, employée territoriale, Michel DECAROLIS, Pierre Bénite, retraité, syndicaliste. Fernand NICOLAFRANCHESCO, Irigny. Bernard DEJARDIN, Pierre Bénite, ouvrier métallurgiste. Marie Thérèse DEJARDIN, Pierre Bénite. Damien DEL CERRO, étudiant. Daniel DELEAZ, Pierre-Bénite, adjoint municipal. Ghislaine DELEAZ, Pierre-Bénite, assistante parlementaire. Guillaume DELEAZ, Pierre Bénite, étudiant. Jonathan DELORME, Pierre Bénite, consultant en recherche d'emploi. Monique DELORME, Pierre Bénite, assistante commerciale. Jean DEMORE, Irigny, retraité JTECK, ancien élu municipal. Alexandre DERKAEN, étudiant. Gérard DESMEURS, Pierre-Bénite, métallurgiste, syndicaliste. Christiane DESMEURS, Pierre-Bénite, retraitée. Alice DESPLACE, Pierre Bénite. Annick DEVOUASSOUD, Pierre Bénite. Yassine DJEMMALI, Pierre Bénite. Andrée DONZEL, Pierre Bénite. Hervé DUFOURD. Maurice DURET, retraité. Khaced EL BALI, Pierre Bénite. Souhila EL AOUNI, Pierre Bénite, agent territorial . Grégory ELMALAN, Pierre Bénite. Alberte EYTARD, Pierre Bénite. Marinette FARGUES, Pierre Bénite, retraitée de l'Education Nationale. André FAVIER, retraité. Pierre FERRA, employé commercial. Marius FAVORITI, Pierre-Bénite, résistant et ancien combattant. Lucie FAVORITI, Pierre-Bénite, retraitée. Jacqueline FAYOLLE, retraitée. Mr FELDJ, Pierre Bénite. Natacha FERIGOULE, étudiante. Anne Marie FERNANDEZ, Pierre Bénite, retraitée. Elisabeth FERNANDEZ, Pierre Bénite, secrétaire administrative. Cyrille FERRANDES, Technicien. Jean-Pierre FERRANDES, Pierre-Bénite, syndicaliste Air Liquide, élu municipal. Marie Pierre FERRANDES, responsable de personnel. Maxime FERRANDES, technicien. José FERREIRA, Pierre Bénite, ouvrier. Maria Alice FERREIRA, Pierre Bénite. Denise FISCHER. Cyrille FLETY, cuisinier. Arlette FOURCADE, Pierre Bénite, agent territorial. Ginette GAMBEY, Pierre Bénite, retraitée. Jean Claude GARAVEL, imprimeur. Leïla GHARBI, Pierre Bénite, auxillaire de vie. Nicole GAY, Pierre Bénite, enseignante retraitée. Robert GAY, retraité, syndicaliste. Florian GENEAU, Pierre Bénite, étudiant. Vivien GENEAU, Pierre Bénite. Monique GILET, Pierre Bénite, ATSEM. Keltoum GONZALES, Pierre Bénite, employée. Enki GOULLIER, étudiant. Jacques GOURGNER, Pierre Bénite, ancien 1er adjoint à Pierre Bénite. Marie Claude GOURNGER, Pierre Bénite, retraitée. Michel GRAMBERT, Maire de Selonnet, ancien adjoint de Pierre bénite. Françoise GRANJON. Jean Claude GRENIER, Pierre Bénite, retraité La Poste. Alain GUILLOT, Charly. Yvette GUILLOT, Charly. Geogette GUILTEAUX, Pierre Bénite. Fouad HACHE, Pierre Bénite, en recherche d'emploi. Christiane HAMAN, retraitée. Farid HAMAN, chauffeur Poids Lourds. Salena HANZOUTI, Pierre Bénite. Gaston HAOUR, Vernaison, ancien conseiller municipal. Michel HERNANDEZ, Pierre Bénite. Sophie HERNANDEZ, Pierre Bénite. Beya HIDRI, Pierre Bénite, mère au foyer. Florence HOSPITAL, Pierre Bénite, syndicaliste et mutualiste. Madame JACQUETIN, Pierre Bénite. Roland JAKOB, Pierre-Bénite, retraité, ancien élu municipal. Bernadette JANIN, Pierre Bénite, retraitée. Robert JANIN, Pierre Bénite, militant associatif. Arem JAOUADI, Pierre Bénite, Assistante de Gestion. Stanislas JEAN-JACQUES, Pierre Bénite, soudeur. Marcel JEURE, Pierre-Bénite, retraité Arkéma, militant syndical. Henriette JOBERT-SCAGLIONE, Pierre Bénite, ancienne élue. Jean Philippe JULIEN, Pierre Bénite, cheminot. Zorra KADA, Pierre Bénite. Camel KADOURI, Pierre Bénite, sans emploi. Selma KAHRAMAN, Pierre Bénite. Alan KANTE, Pierre Bénite, étudiant. Ahmed KHALED, Pierre Bénite, retraité. Sidhamed KHANTAR, Pierre Bénite, agent territorial. Moktar KHEBHABI, Irigny, maçon. Samia KLEDOUDA, Pierre Bénite. Basma KOWALSKI, ASD à Vinatier Bron. David KOWALSKI, Pierre-Bénite, agent territorial. Michel KRECZANIK, Pierre Bénite, Le Petit Bar, commerçant. Eric LAJARA, Pierre Bénite, technicien supérieur à JTECKT, Président d'association sportive. Ahmed LAMECHE, Pierre Bénite. Farida LAMECHE, Pierre Bénite. Knafia LAMER, Pierre Bénite. Laid LAMER, Pierre Bénite. Ahmed LAMRI, Pierre Bénite. Guy LAPEINE, retraité Arkéma, syndicaliste. Christian LAPLANCHE, Vernaison, retraité La Banque Postale. André LAUBIES, Pierre Bénite, retraité. Hadda LAOUCHIA, Pierre Bénite, agent territorial. Dominique LECAS, Pierre Bénite, mécanicien Poids Lourds. Gérard LEGRIP, professeur. Roland LELONG, Pierre Bénite, agent territorial. Benoît LEVEQUE, comédien. Sylvie LOMBARD, Pierre Bénite, esthéticienne retraitée. A. LOUCIF, Pierre Bénite. Auchey LUCARDI Pierre Bénite, attachée de recherche clinique. Ofida LUSAARI, Pierre Bénite , mère au Foyer. Suzanne MALIN, Pierre Bénite. Bertrand MANTELET, secrétaire de la section du PCF d’Oullins. Elie MARCOUX, dessinateur industriel. François MARIN, retraité. Christiane MARSELLA, Pierre Bénite. Jean Michel MARION, agent de maîtrise à la mairie de Pierre Bénite. Jean Claude MARSELLA, Pierre Bénite, cadre territorial. Denise MARTINEZ, Pierre Bénite, retraitée. Lysiane MARTINEZ, metteur en scène, comédienne, professeur d'art dramatique. Pierre MARTINEZ, Pierre Bénite, retraité territorial. Béatrice MATERNE. Andrée MAURY, couturière, retraitée. Fabien MAURY, économiste. Pierre MAURY, retraité du bâtiment, auteur de "La Résistance communiste en France". Jean MAZARD, Irigny, métallurgiste et syndicaliste. Ahmed MEBKHOUT, Irigny, militant syndical. Christiane MEBKHOUT, Irigny, retraitée. Noël MDOUM, Pierre Bénite, formateur. Lucien MICHEL, Pierre Bénite, retraité. Michèle MICHEL, Pierre Bénite, retraitée. Oumano MIGNO, Pierre Bénite, étudiant. Hélène MONTADERT, retraitée. Alfreda MIRRALES, Pierre Bénite. Nadia MOKDAD, Pierre Bénite, femme au foyer. Michel MOREAU, Pierre-Bénite, directeur d’école à la retraite, ancien adjoint au maire. Michelle MOREAU, Pierre Bénite, retraitée. Patrice MOREL, Pierre Bénite, agent territorial. Kaltoum MOUNIB, Pierre Bénite. Joëlle MOUSSIER, Pierre Bénite, syndicaliste. Dominique MUGNIER, employée du Centre Benoit frachon. Suzanne MUNOZ, agent hospitalier à Lyon Sud, Syndocaliste. Jean Pierre MURARD, Pierre Bénite, charcutier. Christian MURE, Irigny, ouvrier métalurgiste. Angèle NDJALKONAG, Pierre Bénite, lycéenne. Kader NESSAKH, Pierre Bénite, plombier sans emploi. Evelyne NICOLE, Pierre-Bénite, adjointe au maire. Christine NUNEZ, Pierre Bénite, militante associative. Jean François NUNEZ, Irigny, retraité. Alain OCTAVIEN. Danielle OCTAVIEN, Pierre Bénite, retraitée HCL. Henri OCTAVIEN, Pierre-Bénite, retraité. Marie Micheline ODDOZ, Pierre Bénite, syndicaliste. Joëlle OLIVA, Pierre Bénite, syndicaliste à Air Liquide, élue municipale. Françoise OSORIO, Pierre Bénie, Nounou à domicile. Jalel OUECHTATI, Pierre Bénite. Safien OUECHTATI, Pierre Bénite, lycéen. Valérie OUECHTATI, Pierre-Bénite, agent territoriale. Mr OUHENWOU, Pierre Bénite. Alain PAILLARD, Pierre Bénite, employé France Télécom. Françoise PAILLARD, Pierre Bénite, enseignante. Robert PAILLASSEUR, Pierre Bénite, chef d’entreprise. Francis PARRA , Ancien conseiller Prud'hommes CGT du Rhône. Emile PARRAVICINI, Charly, retraité. Christiane PAVOUX, Pierre Bénite, retraitée. Maurice PAVOUX, Pierre Bénite, retraité de la focntion publique territoriale. Pierre PAYA, Pierre Bénite. Jacques PERRATONE, Pierre Bénite, retraité SNCF. Josiane PERRET, retraitée. Jeannine PETELAT, Pierre Bénite. Guy PONTON, Pierre Bénite, employé de Sécu, retraité. Gérard PUPIER, artisan, retraité. Christian PASCALLON, Pierre Bénite, ouvrier. Marc PLOTTON, directeur de centre de formation. Michèle RAGGUEM, Pierre Bénite. Thiu RAGGUEN, Pierre Bénite. Claudine RANALDI, Pierre Bénite. René RANALDI, Pierre Bénite. Christian RAOUX, Pierre Bénite, agent territorial. Suzanne RAOUX, Pierre Bénite. Nordine REGHIS, Pierre Bénite, aide soignant. Renata RENAUD-GENTY, Pierre Bénite, retraitée. Valentin REPPELIN, Pierre Bénite. Aziza RIBEINO-SANTOS, Pierre Bénite. Elisabeth RICHOL, Pierre Bénite. Jean Pierre RIVET. G. RODRIGUEZ, Pierre Bénite, retraitée. F. RODRIGUEZ, Pierre Bénite, retraité. Jésus RODRIGUEZ, Pierre Bénite, retraité. Françoise ROSALES, Pierre Bénite, employée. Christiane ROSATI, Pierre Bénite, employée. Vincent ROSATI, Pierre-Bénite, élu municipal. Rémi ROUSSEL, Charly, étudiant. Claudette ROYER, Pierre Bénite, retraitée des PTT. Alice RUILLAT, Pierre Bénite. Mr SAIDANI, Pierre Bénite. Alain SAINT-PATRICE, Pierre-Bénite, ingénieur informaticien, élu municipal. Isabelle SANTOS, Pierre Bénite, étudiante. Djamila SASSI, Pierre Bénite. Luigi SCARFO, Pierre Bénite. Jean SEDFI, Irigny, retraité. Marie Paule SEDFI, Irigny, infirmière. Tll SEDLY, Pierre Bénite, agent de médiation. Najatte SEGUIRANI, Pierre Bénite. Miren SERVONNET, Pierre-Bénite, première adjointe au maire. Michel SERVONNET, retraité EDF, ancien conseiller prud’homal. Laurent SERVONNET, directeur d’école. Nicole SIMOULIN, Pierre Bénite, employée. Anna SLIMI, Pierre Bénite, au chômage. Manèle SLIMI, Pierre Bénite, infirmière. Yvette SOUBEYRAND, Pierre Bénite, employée de maison, retraitée. Bernard STIEBER, Irigny, ancien élu municipal. Mahé STIEBER, Pierre Bénite, élue municipale. Jeannine SYLVESTRE, Irigny. Shîrine TACHTIOUI, Pierre Bénite, étudiante. Roger TARRAGO, Pierre-Bénite, responsable associatif, syndicaliste. Stéphanie TARRAGO, Irigny, Employée. Violette TARRAGO, Pierre Bénite. René THIBAUDIER, Pierre Bénite, technicien chimiste. TOBNI. Daniel TOINNET, Pierre-Bénite, retraité Arkéma, ancien élu. Laila TOTITE, Pierre Bénite. Othman TLAILIA, chômeur. Nahim TOUHAMI, Irigny. M. TRAN, Pierre Bénite, technicien. Arlette TSACRIOS, Pierre Bénite, militante associative, élue municipale. Kevin TSACRIOS, Pierre Bénite. Pierre UBEDA, Pierre Bénite. Philippe VACAVANT, Pierre Bénite, formateur ERDF. Eric VALETTE, Pierre Bénite. Jean Claude VASLET, Irigny, chargé d’études en conditions de travail. René VENET, Pierre Bénite, retraité La Poste. Michel VERA, Pierre-Bénite, militant associatif, ancien adjoint au maire. Sylvie VERICEL, Pierre Bénite, assistante maternelle. Patrick VERSTAEN, Pierre Bénite, directeur de l’école de musique Paul Roucard. Claudette VIDON, Pierre Bénite. Angèlique VIENNE, Pierre Bénite, vendeuse. Patrick VINCENT, Pierre Bénite, agent territorial. Regis VOUGAZ, Pierre Bénite. Yvonne VUILLEMARD, Pierre Bénite. Kalouge YILMAZ, Pierre Bénite, étudiant. Alexia YVINEC, Charly, étudiante. Lucas WINIARSKI, étudiant. Zahra ZAHER, Pierre Bénite. Ouchida ZAIDI, Pierre Bénite. Mebarek ZERGOUNE, Pierre Bénite, retraité.
